Mes bonnes résolutions...

Je m'autorise
le bonheur !

Je m'autorise le bonheur !
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Le bonheur ? Tous les philosophes, et parmi les plus éminents - Socrate, Platon, Aristote -, ont consacré leur intelligence à essayer de cerner ce sentiment au plus juste… Quant à Matthieu Ricard, moine bouddhiste, il induit lors d’une conférence que « le bonheur n’est pas une quête mais un état »… Bien qu’indéfinissable, chacun s’en forge une représentation. C’est dire que cet idéal reste inhérent à notre nature, quelles que soient nos conceptions et nos croyances…

> Je suis fait pour le bonheur

L’affirmation peut paraître excessive compte tenu des difficultés de l’existence. Pourtant, il n’existe aucune autre alternative au sens de la vie. L’erreur consiste seulement à croire le contraire. Persuadez-vous que vous méritez d’être heureux en évaluant vos gestes altruistes et en ne prêtant plus attention à tous ceux que la plénitude effraie.

> Je m’accorde du plaisir
Le plaisir est légitime et source de vie. Vivre en ne se l’accordant pas relève du pur masochisme. Son obstacle majeur consiste à culpabiliser à mauvais escient. Aussi, accordez-vous chaque jour une petite satisfaction. Autorisez-vous par exemple à programmer ce week-end farniente qui vous titille depuis longtemps. Vous n’en aurez que plus de cœur à l’ouvrage pour faire face à vos responsabilités.

> Je danse avec les mots
La vie n’est pas un long fleuve tranquille et il ne s’agit certes pas de poser un déni sur une réalité pas toujours agréable. En ce sens, l’obscurité n’existant que par rapport à la lumière, le négatif n’est que l’envers du positif. Le langage est magique ! Écoutez autrement le mot « désespoir », vous y entendrez alors « des espoirs ». Accrochez un sourire à vos lèvres et osez entrer dans la danse !

> Je partage avec mon entourage
Impossible de se sentir heureux sur une île déserte ! L’Homme est avant tout un être de relation. Rappelez-vous Robinson Crusoé et sa joie d’avoir rencontré son compagnon « Vendredi ». Votre entourage peut contribuer à vous révéler à vous-même. Vous avez une difficulté et vous n’arrivez pas à la résoudre ? Partagez-la avec quelqu’un de confiance. Il suffit souvent d’un miroir ami pour que la solution jaillisse.

> Je transforme la plainte en enthousiasme
Ah, si j’avais plus d’argentC’est la faute du gouvernementMes enfants sont épuisantsMa belle-mère est une horrible femmeQu’est-ce que j’ai fait au Bon Dieu pour avoir ces ennuis de santé… Toute plainte est légitime dès lors qu’elle débouche sur une ouverture dynamique, c’est-à-dire si elle génère un changement. Par contre, vous conforter dans une position de victime ne ferait qu’encombrer votre chemin vers le bonheur. Une fois la revendication exprimée, et si vous la trouvez justifiée et justifiable, prenez la ferme décision de gagner plus d’argent, de vous engager en politique, de poser des limites énergiques à vos héritiers, de ne plus fréquenter votre belle-mère, de prendre en main votre santé ! En un mot, agissez et votre plainte laissera très vite la place à un bel enthousiasme !

En résumé
Le bonheur est contagieux. Aussi, la ferme décision de s’autoriser à être heureux représente le plus beau cadeau à se faire et à offrir au monde qui nous entoure.
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