Le point de vue
de Signes & sens
La sagesse
des médecines douces
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Encore appelées médecines non conventionnelles,
les médecines douces englobent des pratiques dont
le but essentiel est la prévention de somatisations.
Ces méthodes reposent sur les traditions et ont le mérite
d’interpeller l’être humain qui, au fil du temps,
a adopté l’habitude de prendre conscience de la richesse
de son capital santé. Les médecines douces,
médecines naturelles, peuvent d’ailleurs jouer un
rôle prépondérant en tant que médecines naturelles
alternatives. S’appuyant sur la générosité de Dame
Nature, ce choix paramédical séduit de plus en plus
l’Occident qui s’engouffrait depuis des décennies
dans le registre de la facilité : l’automédication allopathique ! Les médecines douces ont – de fait – favorisé la création d’un secteur parapharmaceutique
qui offre l’avantage non seulement d’être sérieux en
matière de produits d’origine 100 % naturelle mais
qui invite aussi à revenir à des réflexes raisonnables.
Ainsi – et pour exemple –, les Fleurs de Bach interviennent
favorablement lorsque le manque de
confiance en soi commence à avoir des allures de dépression.
Ces élixirs floraux, mis au point en 1930
par le docteur Edward Bach, médecin clinicien et homéopathe,
abritent la vertu de traiter les états émotionnels
perturbants : 38 essences florales dont les
propriétés peuvent agir efficacement, selon une préparation
spécifique, sur des troubles aussi variés que
l’humeur instable, la sphère digestive, les insomnies,
les céphalées, les problèmes ostéo-articulaires, l’hypertension
artérielle, la fatigue… Si ces méthodes
ont leurs détracteurs, elles donnent toutefois d’excellents
résultats sur des dysfonctionnements somatiques
bénins qui ne demandent qu’à dégénérer… La
subtilité des médecines douces ? Le bonheur de prévenir.
De la pure sagesse.
