Il n’y a que des avantages à cultiver harmonie, bien-être et santé. Pléonasme
pensez-vous ? Pas le moins du monde…
Car, avec un peu d’honnêteté intellectuelle,
il est facile de constater que l’être
humain a un certain penchant pour la
dysharmonie, le mal-être et la… maladie…
Il est sûr qu’en recherche de conflits plutôt
systématique, il s’avère difficile de connaître
un équilibre de vie satisfaisant.
Mais qu’est-ce qui peut bien nous animer
de la sorte de façon récurrente ? Un besoin
d’attirer l’attention sur soi, une nécessité
à délimiter son territoire, une exigence
intérieure à se situer sur une
position dominante ? Souvent, les trois à
la fois ! Que d’énergie gaspillée, que de
regrets, que de chagrins aussi… Et
surtout, quelle frustration de se couper de la main tendue par l’autre, quelle amertume
de se priver de l’apport d’un interlocuteur,
quelle tristesse d’éviter tout lien
humanisant !
La philosophie zen reste une médiation
altruiste qui permet de méditer objectivement
sur nos débordements intempestifs.
Il en résulte un calme porteur d’un recul
nécessaire par rapport aux événements
qui nous dérangent. Cette paix qui se dégage
ainsi vaut la peine d’être expérimentée.
D’ailleurs, peu aisé de s’en passer
après l’avoir savourée ! L’essayer c’est
véritablement l’adopter ! Alors, soyez
zen…