Mes bonnes résolutions...

J’assume sans culpabilité
les cadeaux que je me fais !

J’assume sans culpabilité les cadeaux que je me fais !
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« On n’est jamais si bien servi que par soi-même »… Voilà un adage s’appliquant à toutes les sphères de l’existence, y compris et surtout lorsqu’il s’agit de son narcissisme. Décider de se faire plaisir possède en effet l’énorme avantage d’être certain de ne pas être déçu ! Quant à la culpabilité, elle n’a aucune raison d’être dès lors que le psychisme a intégré que le véritable intérêt pour autrui découle d’une personnalité qui en a fini avec le masochisme.

> Je ne génère aucune ambivalence
Il y a une énorme différence entre se faire un cadeau et faire un cadeau. La psychanalyse a démontré que l’inconscient n’est pas vraiment philanthrope. Ainsi, qui n’a jamais eu la sensation de se sentir mal à l’aise face à un présent reçu… Peu importe les raisons de cette gêne qui, en revanche, n’existera pas en vous offrant enfin le bijou que vous désirez. Assumez d’être à la fois le récepteur et l’émetteur en vous disant que cet achat est une politesse vis-à-vis d’autrui ! Entendez par-là que votre cadeau vous permettra de rayonner, optimisant vos liens avec votre entourage qui aura sûrement envie d’en faire autant !

> Je me récompense de façon naturelle
Après l’effort, le réconfort ! Cette philosophie du bon sens renvoie à toutes nos réussites passées et à venir. Le réconfort dont il est question correspond réellement à la cerise sur le gâteau et devrait venir de surcroît. Explication : vous assumerez et apprécierez d’autant mieux le fait de vous gâter de temps en temps que vous aurez le sentiment qu’il ne s’agit pas ici d’un but en soi mais d’une conséquence normale. Soyez convaincu que le plaisir amène le plaisir. Remplir ses obligations sociales et professionnelles avec sérieux et enthousiasme entraînera naturellement et de façon non compulsive de votre part les justes récompenses qui, à leur tour, vous donneront encore plus d’ardeur au travail.

> Je suis irréprochable
L’argent que vous avez gagné vous appartient en propre. Sentez combien il est le fruit de votre labeur. Vous pouvez en faire ce que vous voulez une fois vos besoins vitaux et ceux de votre maisonnée respectés. Charité bien ordonnée commençant par soi-même et au-delà de vos responsabilités assumées, qui pourrait vous reprocher ce nouveau parfum qui vous rend si heureuse et agréable à côtoyer ?

> Je suis altruiste
Chaque fois que vous effectuez un achat que d’aucuns qualifieraient d’égoïste, persuadez-vous qu’il n’en est absolument rien. Vous êtes en fait plus altruiste que vos détracteurs qui ne se l’autorisent pas, projetant malencontreusement sur vous leurs frustrations. Pourquoi ? Tout simplement parce que le produit de vos rêves permet au concepteur, au commerçant et à ses éventuels employés de gagner leur vie. Pensez également à toute la chaîne de fabrication, aux transporteurs et même à l’État qui ne manque pas de prélever un impôt qu’il devra redistribuer pour le bien public. De quoi vous libérer d’un reste de culpabilité qui pourrait vous encombrer inutilement !

> Je suis branché sur le mode « bonheur »
Choisir d’être heureux constitue le cadeau que vous avez le droit et surtout le devoir de vous offrir. Cet état idyllique n’est pas une utopie. Fait d’une multitude de petits plaisirs à vous autoriser vous-même, rappelez-vous que les cadeaux, tout comme l’argent, ne font certes pas tout le bonheur mais y contribuent largement. Alors, ne vous privez pas, branchez-vous sur lui!

En résumé
« Les petits cadeaux entretiennent l’amitié », dit le proverbe. Or, le plus fidèle de vos amis ne comblera jamais tout à fait vos désirs les plus intimes. C’est à vous seul qu’il revient d’entretenir ce lien intérieur afin que vous puissiez aimer votre prochain comme vous avez appris à vous aimer vous-même…  

 

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