La  plainte engendre la plainte. Surtout lorsqu’elle devient une carte  d’identité ! Même l’entourage en vient à se lasser. Aussi  est-il important de sortir de ce cercle infernal. Pour vous y aider,  positivez chaque situation susceptible de déclencher des pensées de  victimisation. D’autant que de telles attitudes pessimistes ne  résolvent rien. À l’inverse, une énergie nouvelle et  bienfaisante jaillira à coup sûr de votre bonne résolution. Lisez  les lignes qui suivent pour vous en convaincre… 
                        > Je  me connecte à des personnes positives
                                                Prenez  à votre compte le dicton populaire affirmant que ce  qui se ressemble s’attire.  Faites l’inventaire, dans votre entourage, de ceux qui ont une  propension à se plaindre de tout et de rien. Vous serez surpris de  votre découverte. Seconde étape : décidez en toute conscience  de ne plus écouter leurs jérémiades et connectez-vous à des êtres positifs. 
                        
                        >  Je prends des leçons de vie
                        Un  enseignant, pestant souvent contre ses difficultés financières, fut  un jour appelé pour donner des cours à une adolescente handicapée,  clouée à vie dans son fauteuil roulant, mais bien décidée à  profiter des compétences du pédagogue. Depuis ce jour-là, il  considéra l’existence d’une toute autre façon ! Regardez  autour de vous. Nombreux sont les gens qui possèdent beaucoup plus  de vraies raisons de se plaindre que vous et qui avancent en  souriant. Ces sages transmettent des leçons de vie… 
                        >  Je stoppe le besoin de reconnaissance
                        Certains  critiquent votre façon de vivre ? Vous pouvez définitivement couper  court à ce type de plainte en ne cherchant plus systématiquement  leur approbation et leur reconnaissance. Méditez la phrase du  psychanalyste Jacques Lacan qui incite à s’autoriser  de soi-même et seulement de quelques autres… Faites  donc le tri dans vos relations et osez ne plus fréquenter ceux qui  se mêlent de ce qui ne les regarde pas. Ainsi, vous en finirez  définitivement avec des recherches de conflits inutiles. 
                        >  Je cultive la pensée inverse
                        Chaque  fois qu’une envie de plainte surgit, identifiez-la, puis stoppez-la  immédiatement. Portez votre regard alentour et concentrez-vous sur  un objet, une pensée, quelqu’un qui suscite la satisfaction. 
                        >  Je suis responsable de mon existence
                        John  F. Kennedy disait : Ne  demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, demandez-vous ce  que vous pouvez faire pour votre pays ! Resituez  cette solide formule au niveau de votre existence et n’attendez  donc plus que les autres fassent à votre place. Agissez car vous  êtes en grande partie responsable de ce que vous attirez. Les  auteurs d’ouvrages ayant trait à la Pensée positive, aux sciences  humaines comme la psychanalyse, à la spiritualité, ne cessent de  transmettre cette réalité. Revisitez ces enseignements à la  lumière de votre nouvelle manière de considérer le quotidien.  Demandez des conseils de lectures à des membres de votre entourage  qui vous semblent mettre en pratique cette sagesse.
                        >  Je suis un être d’exception
                        La  modestie est une qualité médiocre,  affirmait avec raison Antoine de Saint-Exupéry. La plainte est  d’ailleurs souvent inconsciemment en lien avec l’impression que  rien de bon ne peut vous arriver parce que vous ne le méritez pas !  Il s’agit-là d’inverser définitivement le processus et de  comprendre que vous êtes unique. Aucun être sur la planète ne vous  ressemble. Fort de cette certitude, listez toutes vos belles  qualités, constat incitant décidément à ne plus vous plaindre… 
                        En  résumé
                        Quel  bonheur de découvrir et de redécouvrir que le simple fait de  changer son regard sur les situations les transforme du tout au  tout ! Prendre l’habitude d’en faire un miroir évolutif  stoppe tout processus de stagnation masochiste. En finir avec la  plainte, par le jeu naturel des couples d’opposés, c’est tout  naturellement laisser la place à la joie d’exister…