|
La santé et la forme
dans Signes & sens
Se protéger des pollutions telluriques et électromagnétiques
|
Au sein de son habitat, l’Homme est en permanence soumis aux rayonnements telluriques naturellement émis par la planète Terre. L’évolution des réseaux de communication moderne, avec notamment la commercialisation des téléphones portables, a généré la formation de nouveaux champs électromagnétiques. Une multiplication de courants énergétiques parfois nuisibles...
Les travaux du docteur Hartmann dans les années 50 démontrent l’existence d’ondes verticales invisibles, ou rayonnements telluriques, émises en permanence par l’écorce terrestre. Elles établissent entre elles un véritable maillage de 2 m sur 2m 50, constitué de bandes de 21 cm d’épaisseur. Le réseau Hartmann, généré par le nickel situé à la surface du globe, traverse donc toutes les habitations. Ce réseau serait source de perturbations pour l’organisme sur les points de rencontres des bandes, dénommés nœud H. Il est ainsi déconseillé de dormir en regard de ces emplacements. Une nocivité renforcée par les déformations des mailles induites par la présence d’éléments comme des cours d’eau souterrains, des failles ou des structures métalliques. Autre courant reconnu, le réseau Curry, sensible au fer, fonctionne sensiblement comme le réseau Hartmann à la surface de la terre. Ses zones de croisement présentent également des effets négatifs sur les individus.
Une pollution nouvelle
Les ondes électromagnétiques ont envahi notre quotidien. Décriées depuis plusieurs décennies, les lignes hautes tensions sillonnent la France. À l’intérieur des maisons, l’arrivée des premiers téléviseurs marque le début d’une nouvelle ère. Dans les années 90, la modernisation des moyens de communication multiplie les champs magnétiques : écrans d’ordinateur, photocopieuses, WI-FI, téléphones portables, antennes relais... Leur nombre est considérable, sans oublier les installations électriques et les appareils électroménagers des maisons avec, côté cuisine, les plaques à induction ou les fours micro-ondes.
Des effets sur la santé
Les inquiétudes suscitées par ce problème sont suffisamment importantes pour avoir entraîné des débats parlementaires. La vigilance dans ce domaine est donc maintenant de rigueur. L’interaction des rayonnements électromagnétiques sur le système nerveux central serait source d’asthénie, d’insomnies, de céphalées, de stress ou d’irritabilité. Une présence particulièrement perturbante dans les chambres à coucher, lorsque prises multiples ou rallonges électriques courent sous les lits, ou dans celles des adolescents abritant en général du matériel HIFI. Le téléphone portable, pointé du doigt, pourrait être responsable d’effets toxiques sur le cerveau. Quoi qu’il en soit, l’influence sur la santé de ces courants n’est plus à négliger puisque le risque potentiel de déclencher, au fil du temps, des leucémies, des cancers, des lésions de la chaîne d’ADN, des maladies comme la démence d’Alzheimer ou encore des tumeurs cérébrales, met sous haute surveillance les moyens technologiques considérés comme dangereux.
Des protections adaptées
Il existe désormais toute une gamme de dispositifs destinés à neutraliser les ondes polluantes et à équilibrer sur le plan énergétique le lieu de vie ou de travail. Il peut en effet s’agir de simples prises électriques adaptables dans chaque pièce ou de pierres comme le quartz, le schungit ou le cristal. Leurs dimensions sont variables. Sous forme de pyramides, de sphères ou de lotus disposés dans la pièce à traiter, de cartes à conserver sur soi, de pendentifs, de patchs ou pastilles à coller sur les téléphones portables, ils contribuent aussi à la protection de l’habitat.
Paul Lallincourt
L’efficacité de la luminothérapie
Idéale pour traiter les états de dépression saisonnière, d’asthénie ou d’insomnie, compenser un manque de lumière au quotidien, la luminothérapie repose sur le principe d’une exposition de quelques minutes chaque jour à une lumière blanche artificielle. L’intensité de la lumière devant être comprise entre 2500 et 10000 lux, à raison de 4 à 5 séances par semaine à 10000 lux, 30 minutes à chaque fois suffisent. Esthétiques, ces lampes fonctionnent placées sur une table, un bureau ou en fixation murale, représentant une source d’énergie appréciable et ce, pour un coût de 100 à 300 euros. Un investissement santé raisonnable.
|
