Très tôt, l’enfant acquiert une certaine maîtrise. Éducation oblige ! Prématurément, le bambin apprend à refouler ses émotions, quels que soient les drames que vit sa famille…
Certes, depuis une quarantaine d’années – et grâce à Françoise Dolto –, les parents, les enseignants, les médecins, les nounous ont pris la bonne habitude de se pencher sur l’enfant, ses chagrins, ses résistances, ses conduites d’échec. Mais cette bonne intention ne suffit pas : l’enfant reste inconsciemment sous l’emprise d’interdits filiaux, muets depuis des générations et pourtant vivaces. D’où l’avènement logique de méthodes psy adaptées au profil de chacun et qui permettent d’explorer méthodiquement tout ce qui n’a pu être dit, tout ce qui a été tu… Habituer l'enfant à mettre devant lui ses émotions, l'observer, l'écouter, voilà un projet raisonnable qui créera des liens familiaux positifs et évolutifs...
- Foire aux questions Parents (FAQ) -
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La première poussette canne
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Désireux de libérer les parents du volumineux et encombrant landau, l’ingénieur aéronautique Owen Maclaren eût l’idée, en 1965, de concevoir une poussette ultra légère (3 kg) en utilisant un cadre en aluminium. Il imagina également un système de pliage tridimensionnel lui donnant l’aspect d’une canne ou d’un parapluie. Ce concept révolutionnaire est toujours en vigueur aujourd’hui, presque 50 ans après qu’Owen Maclaren ait fait breveter son invention.
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L’éducation physique et sportive à l’école primaire ?
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Les heures d’éducation physique et sportive (E.P.S) font partie intégrante du programme scolaire officiel, à raison de 108 heures par année scolaire, réparties sur une moyenne de 3 heures hebdomadaires. Elles se déclinent selon plusieurs axes : réalisation de performances (activités athlétiques, natation…), adaptation à différents environnements (orientation, escalade, ski, voile…), activité de coopération et d’opposition individuelle ou collective (jeux de lutte, de raquettes, jeux collectifs), activités à visée artistique, esthétique ou expressive (danse, technique gymnique, pratique de cirque).
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Roland Garros oblige, de nombreux enfants se découvrent une passion pour le tennis. Ce qui constitue une très bonne chose. Cette activité sportive développe bien des compétences, telles que les réflexes, l’endurance, la rapidité, la concentration. Vous pouvez inscrire votre enfant dès quatre ans au mini-tennis. Les balles utilisées sont en mousse, les terrains adaptés, les règles simplifiées et l’activité reste plus ludique que technique. À partir de six ans, de vraies leçons peuvent être dispensées (techniques de déplacement, coup droit, revers etc…). Quant à la compétition, elle n’est envisageable qu’à partir de neuf ou dix ans. Une raquette de tennis correcte pour enfant de cet âge est accessible à partir de 50-55 euros. |
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Il s’agit d’un acte chirurgical pratiqué sur la parturiente lors d’un accouchement difficile. Il arrive parfois, surtout pour un premier-né, que l’ouverture du vagin, trop étroit, ne permette pas que le bébé naisse. Une incision est alors pratiquée sous le bord de la vulve, libérant l’enfant. Aussitôt, la paroi vaginale, puis le périnée, sont recousus avec du fil à résorption rapide ou du nylon non résorbable. La gêne occasionnée dure de une à trois semaines. À noter que pendant les accouchements sous péridurale, sous prétexte que la maman ne peut pas bien pousser, l’épisiotomie est plus facilement envisagée. Sachez toutefois que vous pouvez exiger de votre gynécologue que cette intervention ne soit effectuée que si votre bébé et vous-même êtes en réel danger. |
L’adoption, comment faire ?
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La première démarche à accomplir lors d’un désir d’adoption consiste à contacter l’ASE (Aide Sociale à l’Enfance) du département du résidant. Une fois les formalités administratives remplies, un processus se met en place comprenant des entretiens psychologiques, ainsi qu’une enquête sociale. En France, 8000 personnes obtiennent l’agrément officiel d’adoption chaque année. |
Les terreurs nocturnes de l’enfant ?
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Les terreurs nocturnes sont à différencier des cauchemars. Touchant plus généralement les garçons de 3 à 5 ans en période œdipienne, elles surviennent au cours de la phase de sommeil profond (3 premières heures de l’endormissement) et relèvent du somnambulisme. L’enfant peut se mettre à hurler sans que rien ne puisse le calmer. Il est conseillé de ne pas le réveiller et d’attendre que la crise s’estompe. Contrairement au rêve, aucun souvenir ne persiste à l’état de veille. Bien qu’impressionnantes, les terreurs nocturnes sont sans gravité et disparaissent vers l’âge de 7 ans. |
Faire garder son enfant ?
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Il existe deux possibilités : si la garde est occasionnelle, les parents peuvent faire appel à une baby-sitter qui est en général une étudiante. S’il s’agit d’une garde régulière, mieux vaut s’assurer les services d’une assistante maternelle agréée par le Conseil Régional. Cette instance officielle est en effet garante des conditions d’accueil. Néanmoins, il existe d’autres formules comme la jeune-fille au pair ou la nounou à domicile. |
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