Beaucoup de coachs intègrent maintenant dans leurs programmes la pratique de la méditation. Au point que certaines maisons d’édition n’hésitent pas ajouter au terme coaching l’adjectif méditatif pour identifier leurs publications. Alain Héril, spécialiste en la matière, explique que la méditation permet de dénouer les fils enchevêtrés de la bonne compréhension des événements… Elle permet, poursuit-il, de trouver en soi (et nulle par ailleurs !) les bonnes questions et… les bonnes réponses.

Effectuer un bilan de compétences revient à évaluer les aptitudes et les motivations en vue d’un projet professionnel ou d’une reconversion. Il peut prendre la forme d’un véritable coaching individualisé. Si le centre dans lequel a lieu cet accompagnement est agréé, il existe des possibilités de prise en charge financière. Autre avantage, la confidentialité est assurée, le consultant pouvant exiger que les résultats ne soient pas transmis à l’employeur. Nombre de témoignages confirment l’efficacité d’une telle démarche quant à une intégration sociale en réelle adéquation avec le potentiel du sujet.

C’est sûrement notre plus vif désir. De l’ordre d’un vœu pieux qui semble nous échapper à la première occasion. Alors on s’informe, on lit des livres pleins de sagesse, on développe une culture psy, on court les conférences ésotériques. Notre quête devient finalement plus ontologique que spirituelle. Mais il n’y a manifestement pas de mal à être en recherche. Car bien vivre notre destin, c’est aussi tout cela.

Il s’agit d’un outil, d’un repère structurel, favorisant à la fois la connaissance de soi et la connaissance de ce qu’autrui perçoit de nous. La fenêtre de Johari a été mise au point par deux psychologues américains, Joseph Luft et Harry Ingham. Le terme Johari étant la contraction des prénoms Joseph et Harry. Cette fenêtre divise les facettes de notre personnalité en quatre cadrans : 1) La zone publique : elle équivaut à l’apparence, ce que nous montrons à tous. 2) La zone cachée : c’est notre jardin secret, ce que nous ne désirons pas livrer à autrui. 3) La zone aveugle : elle constitue ce que nous ne voulons pas savoir à propos de ce que l’on pense de nous (en négatif comme en positif). 4) La zone inconnue : c’est ce que nous ignorons de nous-mêmes et que les autres ignorent aussi. Cette méthode est utilisée lors de coachings axés sur la communication. Elle a pour objectif d’harmoniser les quatre cadrans de manière à optimiser le potentiel relationnel. .

La résilience est probablement un atout. Entendons ici que, même si chacun d’entre nous est potentiellement résilient, certains n’arriveront jamais à dégager le sens positif d’une situation difficile, dramatique. Alors, qui sont ces heureux élus qui regardent du côté de la lumière, laissant l’ombre à sa juste place de miroir évolutif ? Et, surtout, quelle attitude, quelles aptitudes doit-on briguer pour sortir de situations souvent infernales ? Il s’agit déjà de comprendre que vivre est une chance et de redéfinir, au départ, le terme chance. Les nœuds se déferont alors pour le meilleur…

Grand nombre d’entre nous connaissent la phrase de Coué : « Tous les jours de mieux en mieux »... L’essentiel se résumant à modifier sa façon de penser sa vie dès l’instant où nous désirons devenir de véritables alchimistes de notre existence. La bible du bien-être est assurément en nous. Pour un rappel pratique et efficace de cette superbe évidence, n’oublions jamais que la Pensée positive fait des miracles !